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AGENDA FOLK

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du Maconnais et des environs
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vendredi 2 décembre 2022

Virée à 5 à Troyes

 


 

Nous partîmes 5 et par un prompt renfort nous nous trouvâmes 924 sur le parquet de l’espace Argence à Troyes !…

Pour les organisateurs, cette 10ème Nuit Trad’Actuelle s’est faite attendre puisqu’elle était prévue fin 2020.

Mais pas possible d’avoir le moral à zéro avec une telle affiche ! Et Folkafon,  l’association organisatrice, en profitait pour fêter ses 20 ans. On regrettera seulement un service d’ordre un peu trop enclin à couper les cheveux en 4 et qui oblige à laisser à l’extérieur la gourde métallique et la boîte de fruits secs.


 

La programmation prévoit  2 soirées et 7 groupes sur 450 m2 de parquet dont :

TREF :           4 musiciens passionnés / Bruno Le Tron, Didier Laloy, Wim Claeys, Frédéric Malempré

TOC TOC TOC :      Trio touchant et complice / Anne-Lise Foy, Stéphane Milleret, Vincent Boniface

LE GRAND BAROUF :      4 musiciens influencés d’airs populaires prenant leur source du Poitou à la Vendée en passant par le Berry et la Bretagne / Grégory Jolivet, Julien Padovani, François Robin, Maxime Dancre

LA CUIVRAILLE :   6 musiciens qui se sont rassemblés à l’occasion de la Nuit Trad’Actuelle 2014 / Gabriel Lenoir, Constant Sajaloli, Mickaël Knockaert, Florian Laihem, Louis Descamps, Nicolas Painset

LAÜSA Nouvelle Formule : Le quatuor propose un voyage musical qui puise son identité dans la tradition gasconne et se permet quelques détours « à travers chants » / Aelis Loddo, Cedric Pierini, Julien Esteves, Camille Raibaud

LA MACHINE :                    4 musiciens qui produisent une musique énergique et personnelle / Julien Barbances, Jean Laurent Cayzac, Florian Huygebaert, Grégory Jolivet

DJAL :                                   17 ans après leur premier passage lors de la 1ère édition, ce sextet emblématique de la scène néo-trad revient pour faire vibrer l’espace Argence / Jean Banwarth, Jérémie Mignotte, Stéphane Milleret, Christophe Sacchetini, Claude Schirrer, Sébastien Tron       

Le groupe DJAL débute sa tournée d’adieux, les musiciens sont invités à passer en dernier. Amélie est au 7ème ciel et voit 36 chandelles ! Elle nous explique pourquoi :

 

"Le bouquet final du véritable feu d'artifice de cette 10ème édition était le groupe emblématique DJAL, [ndlr : littéralement du jour au lendemain], groupe phare du renouveau folk à Grenoble issu du label MUSTRADEM (musique traditionnelle de demain).

C'est ici tout un pan de mon éducation musicale du bal qui se déploie et me rappelle mes années fac. Ma jeunesse et mes amours touchées depuis 1997 par ce groupe né en 93.

Pour l'enregistrement de leur premier album "Nuits blanches", j'y étais !

Lors des aller/retour St Etienne-Grenoble à 2 voitures pleines à craquer, j'y étais !

Dans la salle archi blindée de l'ADAEP (une sorte de MJC grenobloise mythique), j'y étais !

En 2014 Frédéric Gerchambeau, chroniqueur de musique écrivait " DJAL, c’est la crème de la crème du Bal folk".  Et il n'a pas tort, ces musiciens virtuoses épris de jazz ont eu une influence considérable sur le néo-folk que nous écoutons aujourd'hui.

Alors samedi soir c'est 25 ans de belles émotions de danse et de vie qui ressurgissent en 1h30 de bal.

La joie m'envahit : VIVE LA MUSIQUE et immense MERCI à tous ceux qui contribuent à ce que la magie continue d'opérer."             Amélie

 

Message reçu 5 sur 5

Une virée à 5 à Troyes s’organise en 2 coups de cuillère à pot : Sur le site de l’Office de Tourisme, on apprend que Troyes est appelée «  la ville aux mille couleurs ». Une visite de ses ruelles médiévales s’impose avec découverte de sa gastronomie. 

 


 Quand on évoque la statuaire troyenne, on pense d’emblée aux centaines de sculptures qui ornent les églises et illustrent le « Beau 16e ». Mais qu’elles soient de pierre, de marbre ou encore d’acier inoxydable, figuratives ou  abstraites, nombre de sculptures contemporaines habillent également l’espace public. Un de ces 4 matins, on finira par trouver le fameux Cheval de Troyes, en attendant on l’imagine…  


 

  Anne, une amie danseuse du Morvan, nous conseille de visiter la Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière (MOPO) : 

 

Installée dans un hôtel particulier construit en 1560 et restauré par les Compagnons du Devoir à partir de 1969, la Maison de l’Outil est devenue le plus grand musée d’outils de façonnage à main au monde, pour la qualité et la quantité des outils présentés, mais aussi pour la scénographie unique, intemporelle, qui la transforme en «Louvre de l’ouvrier».

 

Vingt dieux ! C’est un sacré mouton à 5 pattes ! Et ça vaut dix ! Merci pour le tuyau

En un mot comme en cent, ce séjour a tapé dans le mille 

 

Dommage que le jeu partagé pendant ce séjour n’ait pas été le 1000 bornes…

Isabelle 

Chantal (vidéo, photos)