« Pour passer Noël je n’ai pas besoin de guirlandes.
Non, pas besoin de guirlandes.
J’ai juste besoin de mes amis, de ma bande. De mes amis, de
ma bande.
Je n’ai pas besoin de sapin en plastique. Non, pas de sapin
en plastique.
Parce que j’ai des amis, de la danse et de la musique ! »
Noël, cette
période magique, où l’air même est mystérieusement chargé de quelque chose
d’indéfinissable, de subtil. Pourquoi ne pas prendre le meilleur dans les
habitudes existantes et voir Noël comme une fête de famille et de chaleur
humaine ?
Célébrer ces instants comme des parenthèses de tolérance, de paix et
de fraternité.
Le temps de
Noël fait partie des actes collectifs qui aident à la recherche de sens.
Aujourd’hui, après avoir un peu disparu, les cérémonies et rituels semblent
reprendre place dans notre quotidien pour ré-enchanter nos existences.
Face aux
aléas de la vie et à sa finitude, notre besoin de rituels est vital.
Rites,
pratiques rituelles et cérémonies festives sont autant d’activités ancestrales
qui structurent la vie des communautés et des groupes et dont elles sont le
ciment.
« Les
rituels servent à structurer le temps, nos relations aux autres, au monde qui
nous entoure avec la gestion de nos peurs » explique la psychologue Bernadette
Blin.
« Ils sont là pour nous rappeler que la vie ne se possède pas entièrement,
que toujours quelque chose nous échappe » suggère le chercheur canadien en
socio-anthropologie Denis Jeffrey « il y a dans la vie de l’inexpliqué que le rite matérialise et symbolise »
Sources : Inrees
« Toi tu
auras des étoiles comme personne n’en a…
Quand tu regarderas le ciel, la nuit,
puisque j’habiterai l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors
ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles.
Tu auras, toi, des
étoiles qui savent rire ! »
Antoine de Saint Exupéry
à
Elouann, Stéphanie et Florentin
Bourrée 3 T à deux
Schommelwals